Lettre ouverte à Irina BOKOVA, Directrice générale de l'UNESCO






Irina Bokova, Directrice générale de l'UNESCO


Par Adnan Nasrawin

Crier la vérité pour que vivent l'UNESCO et la justice du Tribunal administratif de l'OIT

Madame la Directrice générale,

Depuis le 8 décembre 2011, je vous ai adressé plusieurs courriers dans lesquels j'ai révélé les différents scandales, dérives juridiques et morales, violations des droits de l'Homme et des valeurs de l'UNESCO, commis dans mon affaire par votre prédécesseur, M.Matsuura, dans l'exercice de ses fonctions.

J'ai également relaté ces faits dans les différents chapitres de mon livre «Mon combat contre l'injustice de l'UNESCO et du Tribunal administratif de l'OIT » dont j'ai terminé la rédaction au mois de décembre 2011 et une copie vous a été envoyée le 8 décembre 2011. Ce livre sera publié au début du mois de juin prochain à Paris.

Malgré la gravité de ces scandales, qui ternissent l'image de l'UNESCO et qui ont abouti à m'évincer de mon travail d'une manière illégale, frauduleuse, inacceptable, et brisé à jamais ma vie et celle de ma famille, vous avez toujours ignoré mes appels vous demandant de faire toute la lumière sur le comportement de votre prédécesseur, M.Matsuura et sur les fraudes qu'il a commises dans mon affaire, dans l'exercice de ses fonctions, et qui engagent aujourd'hui d'une manière directe et totale votre responsabilité juridique et morale.

Suite à votre refus délibéré de faire éclater la vérité sur les agissements votre prédécesseur, qui a bafoué toutes les règles des Nations Unies et de l'éthique de toutes les Organisations onusiennes, j'ai décidé de m'adresser à vous, aux Etats membres, aux contribuables dans ces Etats membres qui financent l'UNESCO avec leur argent, à l'opinion publique internationale, et à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté qui croient en les valeurs de l'UNESCO, pour leur montrer la vérité de mon affaire et la vérité amère de tous les scandales et violations des droits de l'Homme commis par la précédente administration de votre Organisation, et que vous avez validés par la lettre expéditive que vous m'avez adressée le 27 janvier 2012 .

J'ai la ferme volonté de révéler haut et fort tous les faits, documents à l'appui, qui montrent la complicité manifeste entre le Tribunal administratif de l'OIT et votre prédécesseur, M.Matsuura, notamment son instrumentalisation inadmissible du Tribunal pour faire passer son mensonge et se dérober à ses responsabilités dans mon affaire.


La vérité du lien de mon affaire avec la légitimité de huit résolutions de l'ONU:

La première vérité que je voudrais affirmer est que mon affaire avec l'UNESCO est toujours d'actualité car elle est liée depuis mon entrée à l'UNESCO en 1997, d'une manière inséparable, dans tout les sens du terme, à la légitimité internationale de huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU et de leur mandat onusien de la culture de la paix, confié à l'UNESCO depuis 1996.

Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU ont été votées à l'unanimité par les Etats membres entre 1996 et le 6 octobre 1999 (période pendant laquelle M.Mayor était Directeur général de l'UNESCO).

Ces huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU, avec l'accord total de la Conférence générale et  du Conseil exécutif de l'UNESCO, ont confié depuis 1996 à l'UNESCO et à M.Mayor, comme son Directeur général en exercice, le mandat onusien des missions de la culture de la paix, qui s'est perpétué jusqu'au mois de décembre 2010.


Dans son mémoire de vérité, en date du 10 janvier 2008, qu'il a établi concernant mon affaire avec l'UNESCO, le Directeur général Mayor a affirmé au paragraphe 7 :

«J’ai fait appel en 1997 à la collaboration de M.Nasrawin pour travailler dans le cadre de ce mandat des missions de la culture de la paix, qui se prolonge jusqu’en 2010, avec mes promesses fermes qu'il aura un poste jusqu’en 2010.»


Le Directeur général Mayor a révélé en détail dans son mémoire de vérité aux n° 8 et 9 que les huit résolutions de l'Assemblée générale de l'ONU lui ont conféré, avec le mandat onusien de la culture de la paix, le pouvoir constitutionnel de faire telles promesses, engageant l'UNESCO, à M.Nasrawin.



La vérité de onze mémos de mon dossier :

Les 11 mémos de mon dossier, établis par le Directeur général Mayor, tels qu'ils sont relatés dans l'ordre chronologique au chapitre III, paragraphes 1 à 22 de mon livre (cliquez ici), confirment qu'il m'a nommé à un poste de consultant à l'UNESCO en 1997, à un poste temporaire, membre du Personnel de l'UNESCO en 1998 et à un poste établi par son mémorandum décisif du 9 juin 1999 (annexe 1), que j'ai le droit de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010 au moins, dans le cadre du mandat onusien.



Légitime, nécessaire et dans l'intérêt de l'UNESCO :

Au chapitre VII dans mon livre, j'ai relaté en détail les faits essentiels et déterminants, documents de l'UNESCO à l'appui, qui révèlent que ma nomination à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi par le mémorandum du Directeur général M.Mayor du 9 juin 1999 était légitime, nécessaire et dans l'intérêt de l'UNESCO. (Cliquez ici)


Mon affaire et l'avis de la Cour internationale de Justice :

Mon droit de revendiquer un poste établi et un travail continu à l'UNESCO du 9 juin 1999 jusqu'au mois de décembre 2010, dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix, était et est toujours protégé par l'avis de la Cour internationale de Justice du 23 octobre 1956, qui s'applique à mon cas. (cliquez ici)


La vérité du soutien total du Directeur général M.Federico Mayor :

La vérité des faits de mon affaire, telle que je l'ai relatée ci-dessus, est soutenue d'une manière totale au nom de la justice et des valeurs de l'UNESCO par M. Federico Mayor, en sa qualité de Directeur général en exercice de l'UNESCO lors des faits de mon dossier et auteur de mes nominations successives depuis 1997 et par son mémorandum du 9 juin 1999 dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix.

Dans le cadre de son soutien, M.Mayor a rédigé un mémoire de vérité sur mon affaire (cliquez ici) et adressé un mémoire à son successeur, M.Matsuura, lui demandant de mettre en oeuvre sa décision me nommant à un poste établi par son mémorandum du 9 juin 1999, que j'ai le droit protégé de revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010. 


La vérité des scandales, dérives juridiques et morales et violations des droits de l'homme commis par M.Matsuura dans mon affaire, qui ont abouti à m'évincer d'une manière illégale de mon travail :

J'ai révélé dans mon livre des faits essentiels, documents de l'UNESCO à l'appui, qui montrent que votre prédécesseur, M.Matsuura, a établi sciemment dans l'exercice de ses fonctions, un montage frauduleux et scandaleux constitutif d'abus de pouvoir aggravé, dans le but délibéré de m'évincer de mon travail de l'UNESCO.


Ce montage frauduleux monté par votre prédécesseur s'est manifesté par les scandales et dérives juridiques et morales suivants dans mon affaire que j'ai relatés en détails aux chapitres IX à XX de mon livre :

A) Le scandale de falsification d'un tableau budgétaire de l'UNESCO, la production d'un faux et usage de faux avec dissimulation de cinq mémos preuves, commis par votre prédécesseur M.Matsuura et que vous avez validé par votre lettre du 27 janvier 2012.

B)Le scandale de comportement discriminatoire de votre prédécesseur, M.Matsuura, à mon encontre devant l'emploi dans la fonction publique internationale et sa manipulation d'un article du Statut du Personnel de l'UNESCO afin de lui donner d'une manière délibérée une interprétation discriminatoire pour m'évincer de mon travail de l'Organisation.

C) Le scandale de la complicité totale de l'UNESCO avec le Tribunal administratif de l'OIT afin de fouler aux pieds tous mes droits fondamentaux, notamment mon droit de la défense et du jugement équitable. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27 janvier 2012.

D) La complicité totale et manifeste entre votre prédécesseur, M.Matsuura, et le Tribunal pour violer, d'une manière flagrante et extrêmement grave, le Statut du Personnel de l'UNESCO dans mon affaire, avec tout ce que cela comporte comme insulte aux Etats membres de l'Organisation qui l'ont établi et qui sont les garants de la pérennité de son respect. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27janvier 2012.

E) Le scandale de mensonge de votre prédécesseur, M.Matsuura, pour se dérober à ses responsabilités dans mon affaire et son instrumentalisation bien réfléchie du Tribunal administratif de l'OIT dans une lettre signée afin de faire passer ce scandale. Vous avez validé ce scandale par votre silence dans votre lettre du 27 janvier 2012.

F) La complicité manifeste entre l'UNESCO et le Tribunal de l'OIT dans mon affaire :

J’accuse et je dénonce, comme je le publierai plus tard sur ce site, la complicité manifeste entre l'UNESCO et le Tribunal administratif de l'OIT afin de m’évincer par tous moyens, me privant de mes droits fondamentaux, notamment mon droit à la défense et au jugement équitable, bafouant mon honneur, me privant de mon droit sacré au travail en violation de l'article 10 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.

Les autres scandales et dérives mentionnés aux paragraphes A à F ci-dessus suivront dans les prochaines publications sur ce site.

Dans une prochaine publication dans ce site je ferai connaître le délire judiciaire et les abus de pouvoir commis par le Tribunal administratif de l'OIT dans mon affaire, qui a bafoué tous mes droits fondamentaux, notamment mon droit de la défense et de jugement équitable, montrant ainsi sa complicité manifeste et établie avec l'UNESCO.

Madame la Directrice générale, vous vous êtes engagée lors de votre premier discours, comme Directrice générale au mois de novembre 2009 à renforcer le rôle de l'UNESCO comme conscience de l'humanité et leader des idées humanistes de la Communauté internationale en déclarant :

« En tant qu’Organisation intellectuelle,l’UNESCO, cette « conscience de l’humanité » selon les mots puissants d’un grand citoyen du monde, Jawaharlal Nehru, doit être le leader des idées humanistes de la communauté internationale ».


Madame la Directrice générale, mon intention n'est pas de discréditer l'UNESCO mais de vous demander, au nom des valeurs de l'UNESCO, conscience de l'humanité, vérité et justice en reconnaissant que j'ai bien été nommé par le Directeur général Mayor à l'UNESCO depuis 1997 et à un poste établi le 9 juin 1999, que j'ai le droit de le revendiquer jusqu'au mois de décembre 2010 au moins dans le cadre du mandat onusien de la culture de la paix.

Je vous demande aussi de réhabiliter mon honneur et de réparer tous les préjudices profonds que j'ai subis avec toute ma famille suite aux scandales et dérives juridiques et morales commis par votre prédécesseur dans mon affaire et que vous avez validés.

Je vous prie de noter que ce site sera prochainement traduit en anglais et arabe, et diffusé sur tous les médias sociaux et autres moyens d'expression.

En attendant votre réponse, je vous prie de croire, Madame la Directrice générale à ma très haute considération.


Adnan Nasrawin







1 commentaire:

  1. Je suis jeune et je n'arrive pas à comprendre comment une organisation comme l'Unesco peut pratiquer la discrimination comme cela. Ce n'est pas permis.

    La discrimination est horrible en elle-même, mais venant de de la part de l'Unesco, elle doublement horrible et inacceptable.
    Car pour avoir le droit de juger les autres, il faut être irréprochable soi-même.

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